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Identité nationnale, un peu d'histoire


Avatar de Manux
Manux - 11 août 2010 - 14:48:57

Le problème de l’euro est qu’on (le con lambda) lui impute des torts qui ne sont absolument pas de son fait

Le problème, c'est que pour le con lambda, comme tu dis, le coût de la vie est indexé sur le prix de sa baguette, et non pas sur les taux d'inflation ^^

De plus, regarder seulement le taux d'inflation n'a pas grand intérêt s'il n'est pas comparé à la croissance pour mesurer le coût de la vie.. mais au final, t'as raison, ça n'est pas directement imputable à l'euro.


Avatar de mansuetus
mansuetus - 11 août 2010 - 18:21:20

Et pour le coup de “si on ne prend pas les gens pour des cons” tu oublies que lorsqu'il s'agit d'impots/salaires, le chacun pour soi fait règle.

L'intérêt général n'est pas la somme des intérêts particuliers.

“pourquoi c'est mon salaire de fonctionnaire [exemple pris parce qu'ils sont payés par l'état, et c'est lui qui ferait faillite] qui prend et pas l'impot sur les sociétés qui triple ? Ou les retraites qui baissent ? Ou le prix de l'école qui monte ? Ou les impots sur l'utilisation des crématorium/concessions à perpétuité…”

J'ai une foi énorme dans notre bêtise collective quand il s'agit de tirer la couverture à soi.


Avatar de Arpegius
Arpegius - 11 août 2010 - 20:54:04

Personnellement, pour moi la solution est dans l’objection de croissance…

Alors là je suis tout à fait d'accord, mais je pense que tu te rends compte du côté ultra-subversif et utopiste du truc. Je connaissais pas cette théorie, et surtout je ne pensais pas que des gens soit assez fou pour émettre une telle idée.
Il faudrait supprimer toute forme de publicité, arrêter de créer des besoins artificiels, expliquer aux gens que le statut social c'est pas le plus important dans la vie et qu'il faut arrêter de se tirer la bourre, bref, il faudrait que tout le monde soit à la fois sage et intelligent, que toute les multi-nationales se projètent dans le long-terme en abandonnant leurs idées de profit immédiat, les travailleurs auraient plus temps de libre car ils travailleraient moins, etc…
Tout ça me fait penser à une chanson d'un certain John dans laquelle il nous suggère d'imaginer. Si je te dis que tu es un rêveur, tu me répondras sûrement que tu n'es pas le seul… mais on est pas super entouré non plus.


Avatar de Raph
Raph - 11 août 2010 - 21:04:34

Il y a quand même de plus en plus de gens sensible à ce genre d'idées. Cela fait son chemin petit à petit.
Et présenter cela comme un système pas évident à mettre en place, soit. Mais un système basé sur une économie fonctionnant sur le postulat que la consommation va augmenter perpétuellement, et que tout le système bancaire s'appuiera ainsi sur de l'argent fictif, issue des intérêts que les gens rembourseront pour supporter la dite consommation, ne parait pas vraiment plus réaliste. Pourtant, on y est…


Avatar de Ghost
Ghost - 11 août 2010 - 21:22:51

Le problème de ces idées, c'est qu'elles sont tellement subversives, que quand tu les évoques quand tu en es “tenant”, tu prends un casque…

Déjà, ce qui est fou, c'est que les gens se définissent/sont définis par leur boulot. Tu bosses pas, t'existes pas vraiment aux yeux des gens. Alors qu'à la base, tu travailles pour vivre, tu vis pas pour travailler.

Les 35H ont finalement surtout libéré du temps pour consommer, et n'ont pas fait baissé la part d'aliénation propre à pas mal de boulots.


Avatar de Aikanaro
Aikanaro - 11 août 2010 - 21:24:27

'tin, il commence à me faire peur ce thread.


Avatar de Arpegius
Arpegius - 11 août 2010 - 21:25:46

@ Raph, Parce que c'est un système qui ne nécessite aucun effort sur soi-même. C'est la nature humaine qui s'exprime. Cela je pense qu'on peut arriver à sortir de ça, mais pas pour tout de suite.


Avatar de Nimo
Nimo - 11 août 2010 - 21:26:10

un système basé sur une économie fonctionnant sur le postulat que la consommation va augmenter perpétuellement, et que tout le système bancaire s’appuiera ainsi sur de l’argent fictif, issue des intérêts que les gens rembourseront pour supporter la dite consommation, ne parait pas vraiment plus réaliste. Pourtant, on y est…

ça me fait penser a un reportage qui explique que ce système fonctionne en considérant les ressources comme infini…
forcement, ça va se casser la gueule a un moment… mais quand ? comment ?


Avatar de Arpegius
Arpegius - 11 août 2010 - 21:39:26

Les 35H ont finalement surtout libéré du temps pour consommer, et n’ont pas fait baissé la part d’aliénation propre à pas mal de boulots.

Tout à fait, et en plus de ça, les 35h n'ont en rien freiné l'accroissement de la pression exercée sur les salariés, tant en matière de productivité que de flexibilité.

Alors qu’à la base, tu travailles pour vivre, tu vis pas pour travailler.

Va expliquer ça aux féministes, qui pensent toutes que l'émancipation de la femme passe par le travail… Ah il est loin le marxisme… enfin je veux dire le socialisme rationaliste critique.


Avatar de Ghost
Ghost - 11 août 2010 - 21:55:32

Le problème c'est que ces idéologies (marxisme, socialisme) restent tout de même très productivistes.


Avatar de Raph
Raph - 13 août 2010 - 16:02:33

Alcoof: tout à fait d'accord.

Une petite réflexion qui m'a marquée vu qu'on parle croissance: La croissance (lorsqu'elle est positive, puisque dernièrement Lagarde nous a gratifié d'une croissance négative) est une augmentation de la consommation. Mais si l'on se ramène aux biens que chacun possède (et donc aux matières premières nécessaire à leur production), la consommation est donc une vitesse d'amassement de biens.
Donc vouloir maintenir une croissance positive, c'est non seulement, du point de vue des matières premières, vouloir consommer toujours plus de ressources, mais plus que ça, c'est vouloir que la consommation de ressources s'accélère sans cesse (une croissance nulle correspondrait à garder le rythme de consommation actuel), ce qui parait pour le moins problématique…
Qu'on arrive à baser l'économie mondiale sur un système nécessairement divergent, ça me fout tout bonnement sur le cul.


Avatar de Arpegius
Arpegius - 23 novembre 2010 - 07:24:36

Voici un entretien avec Jean-Claude Michéa qui va bien dans la discution.

Et pour revenir un peu sur l'Europe, voici une traduction d'un article de Ambrose Evans Pritchard, un grand journaliste du Daily Telegraph :

L’horible Vérité Commence à se faire jour sur les dirigeants européen

C'est désormais le projet européen en entier qui risque de se désintégrer, avec des conséquences stratégiques et économiques qui sont très difficiles à prévoir.

Dans un discours prononcé ce matin, le Président de l’Union européenne Hermann Van Rompuy (par ailleurs poète et versificateur de japonais et de latin) a mis en garde : si les dirigeants européens ne traitent pas correctement la crise actuelle et laissent la zone euro se fracturer, ils détruiront l'Union européenne elle-même.

« Nous sommes dans une crise de survie. Nous devons tous travailler ensemble pour faire survivre la zone euro, parce que si nous n’arrivons pas à faire survivre la zone euro, nous n’arriverons pas non plus à faire survivre l’Union européenne » a-t-il lancé.

Bien, bien. Quoi qu’il s’agisse d’un thème on ne peut plus familier aux lecteurs du Daily Telegraph, cela n’en fait pas moins un choc que d’entendre une telle confession, après toutes ces années, dans la bouche du président même de l’Europe.

Il admet que le pari d’avoir lancé une monnaie prématurée et dysfonctionnelle, ne disposant ni d’un Trésor centralisé, ni d’une fusion des dettes nationales, ni d'un gouvernement économique pour la soutenir, – et d’avoir, qui plus est, opéré ce lancement avant que les économies, les systèmes légaux, les pratiques de négociation salariales, la croissance de la productivité, et l’élasticité des économies aux taux d'intérêt, soient parvenus à un degré de convergence suffisant du nord au sud de l'Europe – eh bien ce pari est maintenant susceptible de provoquer un horrible retour de flammes.

Jacques Delors et ses compères fondateurs de l’Union économique et monétaire avaient pourtant été mis en garde par des économistes de la Commission, au début des années 90, que cette aventure insouciante ne pourrait pas fonctionner et qu’elle mènerait à une crise traumatisante. Ils ont écarté les avertissements.

Ils avaient également été prévenus que les unions monétaires n’éliminent nullement les risques : elles ne font que les transformer de risques sur les devises en risques sur les défauts de paiement. C'est pour cette raison qu'il était de la plus haute importance de disposer, dès le début, d’un mécanisme en état de fonctionnement pour résoudre les défauts sur les dettes souveraines ou les coupes obligataires, avec des règles claires pour établir le prix à payer propre pour ce type de risque.

Mais non, les maîtres de l’Union européenne n’ont rien voulu entendre. Ils ont considéré qu’il ne pourrait y avoir aucun défaut de paiement, et aucune mesure préparatoire n'a été faite, ni même autorisée, pour traiter la survenance d’une situation pourtant entièrement prévisible. À leurs yeux, la foi politique seule suffisait.

Les investisseurs qui auraient dû être mieux informés sont tombés directement de plain pied dans le piège, en achetant de la dette souveraine grecque, portugaise et irlandaise à 25–35 points de base au-dessus des Bons du Trésor. Au plus haut du boom, les fonds achetaient des bons espagnols avec un écart de 4 points de base. Maintenant, nous voyons ce qui se produit quand vous introduisez un tel aléa dans le système, et que vous fermez en outre le thermostat d'avertissement.

M. Delors avait raconté à ses collègues que n'importe quelle crise serait une « crise bénéfique », qu'elle permettrait à l’Union européenne de vaincre la résistance au fédéralisme fiscal et de rafler ainsi de nouveaux pouvoirs. Le but de l’union économique et monétaire était un but politique et non pas économique, et c'est pourquoi les objections des économistes pouvaient heureusement être passées par pertes et profits. Une fois que la monnaie unique existerait, les États membres de l’Union européenne abandonneraient leur souveraineté nationale pour lui permettre de fonctionner sur la durée. Elle conduirait ainsi inéluctablement au rêve de Jean Monnet d’un véritable État fédéral européen.

Faites donc venir la crise !

Derrière ce pari, bien sûr, il était fait l’hypothèse que n'importe quelle crise pourrait être contenue à un coût tolérable, une fois que les déséquilibres du système « même taille pour personne » typique de l’union monétaire européenne auraient déjà atteint des niveaux catastrophiques, et une fois que les bulles de crédit des pays du sud de l’Europe [baptisés le « Club Med »] et de l’Irlande se seraient effondrées. L’hypothèse était faite aussi que l'Allemagne, les Pays Bas, et la Finlande finiraient – sous l’avalanche des protestations – par se résoudre à payer la facture pour une « Transferunion ». [Union européenne fondée sur le transfert des richesses entre États membres].

Il se pourrait bien que nous soyons amenés à vérifier bientôt si ces deux hypothèses étaient correctes. Loin de lier tous ensemble les pays d’Europe, l'union monétaire mène à l'acrimonie et aux récriminations mutuelles. Nous avons assisté à une première éruption en début d’année, lorsque le vice Premier ministre grec a accusé les Allemands d’avoir volé l'or grec des chambres fortes de sa banque centrale et d’avoir tué 300.000 personnes sous l’Occupation nazie.

La Grèce est maintenant sous protectorat de l’Union européenne, ou plus pudiquement sous « Mémorandum » puisque c'est ainsi qu’on l’appelle. Ce qui a donné naissance à des attaques terroristes piqûres d’épingle contre quiconque est lié de près ou de loin aux pouvoirs européens. L'Irlande et le Portugal sont un peu plus loin en arrière sur cette route qui conduit à la servitude, mais ils sont déjà confrontés à des politiques dictées directement depuis Bruxelles et ils seront bientôt placés à leur tour sous des protectorats formels, et ce dans tous les cas.

L'Espagne a plus ou moins été forcée de réduire les salaires de la fonction publique de 5% pour se conformer aux exigences de l’Union européenne faites en mai. Tous doivent se plier au programme européen d’austérité, sans pouvoir compter sur le soulagement compensateur d’une dévaluation ou d’une politique monétaire plus accommodante.

Si tout cela continue l'année prochaine, avec un chômage à un niveau record de dépression ou même continuant à grimper encore plus haut, il va commencer à devenir important de s’interroger sur qui a la « propriété » politique sur l’ensemble de ces politiques. Est-ce vraiment le fruit d’un consentement pleinement démocratique ? Ou bien ces souffrances sont-elles imposées par des chefs suprêmes étrangers dans un but purement idéologique ? Il ne faut pas beaucoup d'imagination pour comprendre ce que tout cela va faire pour que tout le monde se mette d’accord en Europe.

Mon opinion personnelle est que l’Union européenne est devenue illégitime lorsqu’elle a refusé d'accepter le rejet de la Constitution européenne par les électeurs français et néerlandais en 2005. Il ne pouvait y avoir aucune justification pour faire revivre ce texte, sous l’appellation de Traité de Lisbonne, et le faire adopter de force par une procédure parlementaire sans référendums, dans ce qui n’était au fond rien d’autre qu’un putsch autoritaire. (Oui, les parlements nationaux sont eux-mêmes élus – il n’est pas utile de m’adresser des commentaires indignés pour le souligner ; mais quel fut le motif pour que les gouvernements français et néerlandais refusent à leurs propres peuples de revoter dans ce cas précis ? Les chefs élus peuvent aussi violer la démocratie. Il y avait une fois un caporal autrichien…. mais n’entrons pas là dedans).

L'Irlande était le seul pays obligé par sa Constitution à organiser un référendum. Quand cet électorat seul a également voté Non, l’Union européenne a de nouveau négligé le résultat et a intimidé l'Irlande pour qu’elle vote une deuxième fois afin d'obtenir le « bon vote ».

C'est le comportement d’une organisation proto-Fasciste. C'est pourquoi, si l’Irlande – par une ironie de l’histoire et au nom d'une rémunération méritée – enclenche maintenant la réaction en chaîne qui va détruire la zone euro et l'Union européenne, il sera difficile de résister à la tentation d’ouvrir une bouteille de whiskey de Connemara afin de savourer le moment. Mais il faudra résister à cette tentation. Car le cataclysme ne sera pas joli.

Ma pensée personnelle, pour tous ces vieux amis qui travaillent toujours pour les institutions de l’Union européenne, est de savoir ce qui va arriver à leurs euro-retraites si ce qu’annonce M. Van Rompuy se vérifie.

L'article original


Avatar de Arpegius
Arpegius - 20 janvier 2011 - 20:03:18
Avatar de Arpegius
Arpegius - 27 juin 2011 - 15:48:07

Allez, une petite video juste pour vous montrer qu'en France, il y a des types qui en ont dans le froc. Parmis eux, Alain Soral, un ecrivain de talent dont chacune de ses videos qu'on peut touver sur le net sont des bombes atomiques dans la marre. Je vous ai selectionne celle-ci car elle est plutot complette sur la situation actuelle : enjoy!


Avatar de Ghost
Ghost - 27 juin 2011 - 22:57:19

Il est énorme ce mec.


Avatar de lorisalis
lorisalis - 27 juin 2011 - 23:46:48

Alain Soral me gêne un peu.
Si beaucoup de ses arguments sont troublants, j'ai du mal à adhérer à toutes ses théories paranoïaques. N'oublions pas qu'il s'avère quand même être un négationniste notoire.
J'ai aussi l'impression qu'il mélange tout et n'importe quoi et qu'il ressort le tout en une purée indigeste.
Son histoire de réseau pédophile satanique, par exemple, c'est une vielle théorie de Maurice Dantec, qu'il a côtoyé quelques temps. Il a, à mon avis, tendance à tout prendre pour argent content.
Ceci dit, dans tout ce patchwork d'idées paranos, je reconnais qu'il y a quelques trucs perturbants.


Avatar de Arpegius
Arpegius - 28 juin 2011 - 09:25:58

C'est pas parce qu'on est parano qu'on a pas d'ennemis, comme disait l'autre.

N’oublions pas qu’il s’avère quand même être un négationniste notoire.

A propos de quoi ?


Avatar de Hannibaal
Hannibaal - 28 juin 2011 - 20:10:08

De la Shoah pendant la 2nd Guerre Mondiale…


Avatar de Arpegius
Arpegius - 28 juin 2011 - 20:24:49

Bah… Trouvez-moi ou il l'a ecrit ou dit, mais ca m'etonnerait que vous trouviez. En plus il aurait ete condamne pour ca, or ce n'est pas le cas.


Avatar de lorisalis
lorisalis - 28 juin 2011 - 21:17:06

T'as raison, on peut pas le qualifier de “négationniste notoire”, c'est exagéré, cependant il frise souvent les limites:

En juillet 2009, se réjouissant de la décision de justice favorable à Bruno Gollnisch rendue au terme du procès sur ses propos d'octobre 2004, il écrit :
« (…) puisque la loi française le permet désormais sans risque de mise à mort judiciaire, économique et sociale… répétons donc avec le courageux Gollnisch que : “Sans remettre en cause les déportations ni les morts des camps nazis, le débat doit avoir lieu quant à savoir la façon dont les gens sont morts… et sur les chambres à gaz, sans nier a priori leur existence, il faut laisser les historiens en discuter et cette discussion devrait être libre !”

Je suis conscient que c'est juste de la provoc. Mais qu'il vienne pas se plaindre.