Quand j'aurai besoin de vos avis pour être désagréable, en attendant, allez partager vos lectures avec ceux qui vous ressemblent.
Tout et rien
Non pas celui-là, mais je viens de voir que je confondais bien avec un autre : en fait il s'agissait des vikings
Un “petit” blog bien intéressant concernant l'huile de palme.
Un recueil de déclarations de cyclistes, contre le dopage (la plupart des déclarants sont ceux qui se sont fait choper un peu ou très longtemps après). Ça vaut le détour.
http://www.cyclisme-dopage.com/betisier.htm
Non mais cette année, c'est sûr, c'est propre, ils ont fait un gros effort et c'est terminé ces histoires.
Enfin, sauf si un con se fait choper.
Ca me rappelle l'interview d'un cycliste il y a quelques années, qui disait en substance “il est con de s'être fait choper”. Non pas “il est con de s'être dopé”.
Edit : D'ailleurs, en allant plus loin dans la page, on y retrouve des propos similaires.
C'est le LSV sur les chicons qui m'a fait repenser à cette vieille parodie de pub d'Hara-Kiri. Cherchez pas le rapport.
http://www.youtube.com/watch?v=EsPlc95o17w
Je ne vais jamais sur les glands.
Edit : mais je pourrais essayer, le preuve que ça a bon goût.
Dauby, je te trouve bien informé, comment sais-tu qu'il en a plusieurs ?
Pour dire la vérité, à force de voir le mot “Fistinière” a toutes les sauces sur le site spontex, j'avais d'abord pensé que c'était une déformation de “Finistère”. Peu après et grâce au défilement de certaines phrases logos, j'ai ensuite cru que c'était une pure invention spontex, dérivé de Fist et de Finistère, un mot valise presque anodin, en somme une expression ludique et un peu private joke.
C'est cet après-midi que la surprenante et caverneuse vérité m'a prise aux tripes. Ayant gagné le point (poing?) sur le jeu des objets a faire deviner, je voulais mettre un truc sympa, mais l'inspiration me manquait sérieusement. J'ai donc googlé Fistinière, comme ça, allez, ça venait de défiler dans une logo.
Et là, wouaw, bordel, c'est ça la Fistinière ?
Il y'a une chose que je retiendrai de ma visite sur le site de cette entreprise, c'est la citation du patron, Juan :
« Autour de cet anus, il y a un individu tout de même »
Personnellement, ce que j'aime beaucoup dans la vidéo et que peu de gens relèvent, c'est que le chien, il s’appelle Fistouille..
C'est pas le petit chat blanc Fistouille ?
Le coup de vieux que je viens de prendre ! Pourtant, je ne le suis pas. Enfin, à 34 ans, je suis loin d’être un vieillard à l’état civil.
Mes parents sortaient rarement, et uniquement pour aller au restaurant. Pour les films, il y avait une bonne demi-douzaine de chaînes à la télé. Je me souviens qu’on louait aussi des VHS à la vidéothèque. Je n’étais donc jamais allé au cinéma auparavant et n’en avait jamais ressenti le besoin. Mais on m’avait dit que c’était chouette. Alors un jour, un dimanche d’hiver, ma mère se décida à m’emmener au cinéma. Dans la file d’attente, je regardai les affiches. J’avais entendu parler de deux films qui étaient projetés ce jour-là : Pretty Woman, qui venait de sortir, et La petite sirène, qui était, d’après Wikipedia, sorti l’année d’avant. J’ai hésité jusqu’à la dernière minute et au moment d’arriver au guichet, j’optai finalement pour La petite sirène. J’étais loin de me douter que cela allait devenir le dernier classique de Disney à avoir été dessiné à la main, donc un vrai « dessin animé » avant que cela ne s’appelle « film d’animation ». (C’est LSVable, ça ?) Je pensais avoir 12 ou 13 ans alors. En fait, vu la date de sortie de Pretty Woman, fin 1990, j’avais à peine fêté mes 11 ans.
Hé bien, si dans cette file d’attente, mon double venu du futur (que je n’aurais pas reconnu) m’avait approché pour me dire que la prochaine fois que je verrai ce dessin animé, ce serait 23 ans plus tard, que j’allais être assis dans le salon de ma maison, à 600 km de là, avec ma femme et mon fils, auquel on aurait donné une permission spéciale pour se coucher plus tard et que j’allais m’exclamer « Ah oui, c’est là qu’elle prend la fourchette pour se peigner » parce que c’était presque la seule scène dont j’allais me souvenir ; je ne suis pas certain que je me serais cru.
Nondetchu, 23 ans…